Les hommes, comme les femmes, portent le kimono. Le kimono pour homme est en soie ou en laine.
Les couleurs sont sobres et sans motifs extérieurs. Les manches sont fermées. (Elles sont ouvertes pour les femmes.)
Les hommes, comme les femmes, portent le kimono. Le kimono pour homme est en soie ou en laine.
Les couleurs sont sobres et sans motifs extérieurs. Les manches sont fermées. (Elles sont ouvertes pour les femmes.)
Le kilt était une tenue habituelle pour les grandes occasions en Ecosse (les mariages par exemple). Désormais le kilt est porté par « monsieur tout le monde », peu importe sa nationalité ou ses origines.
Les kilts sont de plus en plus répandus en tant que vêtement de ville. Il n’est pas rare de voir des kilts dans les pubs écossais et irlandais, et on voit de plus en plus d’hommes en porter sur leurs lieux de travail. Le kilt se porte alors avec des chaussures noires, un tee-shirt. Si la tenue à besoin d’être un peu plus habillée, on portera une chemise et s’il fait froid on peut rajouter un pull assorti aux couleurs du kilt. Les kilts plus légers avec de 3 à 5 mètres d’étoffe gagnent en popularité pour les randonnées, les bals, et on voit de plus en plus de supporters de foot ou de rugby en kilt.
Le kilt moderne est fait dans des tissus plus légers, il est plissé en plis plats ou ronds qui sont cousus et le bas n’allant pas plus loin que le milieu du genou.
Le kilt est soumis aux caprices de la mode. Depuis les années 1980, les matières comme le cuir, le jean, l’acrylique sont apparu pour les kilts. On utilise des couleurs unies à la place du tartan ainsi que des motifs camouflage. Ces vêtements revisités sont la preuve que le kilt a toujours sa place dans la mode et qu’il évolue toujours.
« Kilt » est un mot danois. Le kilt est une jupe courte portée par les guerriers vikings qui ont conquis tout le nord de l’Europe ainsi que l’Irlande et la Normandie. Ensuite, ils se sont installés en Ecosse où ils ont adopté le « plaid » qui était une sorte de couverture resserrée par une ceinture, à la taille.
Pendant l’occupation Romaine, on voit apparaître une jupe courte, de couleur écru, plissée à l’arrière et sanglée sur le côté droit (la même que le kilt actuel).
En fait, le kilt n’est,à l’origine, pas écossais.Il était porté dans toute l’Europe mais sous différentes appellations.
Les hommes portent le kilt en Ecosse,en Bretagne,en Normandie,en Irlande, au pays de Galles, en Cornouailles et sur l’ile de man. Chaque pays ou région où les hommes portent le kilt possède son propre tartan ( motifs et couleurs.)
Nous allons parler ici du costume ecclésiastique du clergé catholique .
La casula antique a évoluée dans 2 directions : la chasuble liturgique et le vêtement de chœur des moines.
Le vêtement de chœur est une chasuble ample dont les manches sont formées par les pans cousus. Le capuchon y est attaché et se nomme cuculla en latin. Ce vêtement est souvent plissé et porté pour l’office et la vie communautaire.
La coule est noire pour les Bénédictins et blanche pour les Cisterciens.
C’est un long pardessus qui fait office de costume de ville porté sur la soutane.
Sa coupe est croisée, elle descend jusqu’aux pieds et est fermées par des boutons.
La douillette est noire (sauf pour le Pape qui la porte blanche.)
C’est un manteau ample aux manches longues. Les moines l’utilisent pour aller à l’office.
C’est le terme populaire qui désigne la coule.
Vient du Latin sottana signifiant « vêtement de dessous ».
C’est une longue robe, boutonnée sur le devant. Elle est blanche pour le Pape, rouge pour les cardinaux, violette pour les évêques et noire pour les prêtres.
A partir du XVIIe siècle, en France la soutane est imposée sur le lieu de résidence (1673).
Pendant la Révolution Française, le port de l’habit ecclésiastique est supprimé.
De nos jours, les ecclésiastiques portent un costume sobre avec une chemise surmontée d’un col romain qui imite celui de la soutane.
C’est une aube à hauteur des genoux et à larges manches. Pour les prêtres, il doit impérativement être en toile de lin. Avant 1960, il était le vêtement de chœur pour ceux qui n’étaient ni prêtres, ni diacres.
Depuis 1984, tous ceux qui participent à la liturgie portent l’aube et le surplis a pratiquement disparu.
Le boubou est un costume porté aussi bien par les hommes que par les femmes. Celui des hommes est constitué de 3 pièces : un pantalon, une longue tunique et dessous la tunique une sorte de chemise.
Pour les femmes c’est un pagne, une longue tunique et un foulard.
Le boubou est porté au Sénégal, en Cote d’Ivoire, au Mali et au Burkina-Faso principalement mais on le retrouve partout en Afrique.
La djellaba (ou le jillab) est un long vêtement porté par les musulmans pour être en accord avec les principes de pudeur du Coran. C’est un vêtement long et confortable.
La djellaba est portée essentiellement dans les pays du nord de l’Afrique (Maroc, Algérie et Tunisie.)
Au temps des grecs, l’avocat était appelé un « logographe » c’est-à-dire qu’il écrivait des plaidoyers ou des discours pour d’autres personnes et c’étaient les personnes ayant demandé ces discours qui les lisaient lors de l’audience.
Sous l’Empire Romain, ils ont la fonction d’avocats (le nom est connu) mais sont soumis à des règles et des conditions pour pouvoir exercer leur profession.
En France, il faut attendre le règne de Philippe VI de Valois pour que la profession d’avocat soit reconnue. On ne les appelle pas des avocats mais des ordos (rapport avec le clergé) car les avocats de l’époque sont des ecclésiastiques.
La profession d’avocat est réglementée à partir du Moyen- Âge et les avocats doivent prêter serment de défendre les causes « justes ». Ils sont toujours des ecclésiastiques et plaident en costume d’ecclésiastique. Plus tard on donna le nom de soutane au costume ecclésiastique.
A la Révolution française, il n’y a plus d’avocats. Les avocats reviennent en 1810. Au VXII ème siècle, création de l’Ordre des avocats avec un Bâtonnier comme « chef » de cet ordre. La robe d’avocat a donc pour base de son origine, la soutane de religieux.
De nos jours, l’avocat plaide en robe noire, souvent faite sur mesure et dans différents tissus tels que le panama, la microfibre, la soie, le satin et d’autres. D’autres professions comme huissiers, administrateurs mandataires ou encore les greffiers portent également la robe.
La tenue complète d’un avocat est la robe avec boutons, l’épitoge (avec ou sans fourrure), la toque, les gants blancs.
Le sarong est une pièce de tissu d’1 mètre de large (au moins) et où les 2 petits cotés sont cousus pour former comme un étui.
Le sarong est porté par les hommes et par les femmes. On le retrouve principalement en Asie du Sud-est (Brunei, Cambodge, Timor oriental, Indonésie, Laos, Malaisie, Birmanie, Philippines Singapour, Taiwan, Thaïlande et Vietnam.)
Les vêtements ont une fonction d’ornement. Le plus répandu est le pagne ou tapa fabriqué à partir d’écorce de mûrier séchée et collé avec de la sève.
On retrouve ce vêtement à travers toute l’Océanie (Australie, Papouasie Nouvelle Guinée et Nouvelle-Zélande.)
Nous avons trouvé aussi une représentation montrant un homme océanien dans une sorte de robe.
Au 17ième siècle entre autres, en France à Versailles les courtisans adoptaient la mode de leur souverain et devaient respecter la norme des tailleurs s’ils ne voulaient pas se ridiculiser.
Louis XIV voulait sa cour éclatante et les gentilshommes, pour être à la hauteur de leur monarque, se ruinaient en rubans, perruques et autres fanfreluches. Au début du règne de Louis XIV, la rhingrave et le justaucorps était les vêtements favoris des hommes de la cour.
La rhingrave se composait d’une petite jupe en forme de petit tonneau rigide sous lequel était fixé un haut de chausse bouffant. En général, elle montait jusqu’à la ceinture et se poursuivait par un pourpoint très court à manches fendues sur les cotés qui s’arrêtaient aux deux tiers des bras. Le tout agrémenté de rubans multicolores de dentelles tissées d’or et ornés de papillons et d’oiseaux d’or qui étaient alors un signe de richesse.
Chaussures à talon haut et perruque permettaient de paraitre plus grand.
La Renaissance italienne, paysans et bourgeois.
A l’époque de François Ier, les hommes portent le pourpoint (gilet à manches ajustées qui couvre le torse) souvent allongé d’une jupe à plis droits. Les vêtements, à cette époque, sont en satin, velours, taffetas et autres matières nobles.
La Bourgeoisie veut ressembler à la noblesse et se pare de pourpoint, d’une robe courte ou longue et d’un manteau ; le tout sans aucune décorations.
Les paysans, quant à eux, portent une veste, une grosse chemise en toile et des braies